L’évolution de l’être humain entre insouciance et connaissance L’insouciance se déplace, les mains légères, humant l’air de l’instant présent tel ce « flâneur des Alizés ». Il est léger comme le vent, jeune et insouciant, loin de la connaissance engrangée dans la tête, mais entièrement dans le ressenti de l’instant présent. Parce que la femme regarde au loin droit devant elle, et qu’elle ressent le vent du large, elle voit apparaître la connaissance. Le passage de l’insouciance à la connaissa1
L’évolution de l’être humain entre insouciance et connaissance
L’insouciance se déplace, les mains légères, humant l’air de l’instant présent tel ce « flâneur des Alizés ». Il est léger comme le vent, jeune et insouciant, loin de la connaissance engrangée dans la tête, mais entièrement dans le ressenti de l’instant présent.
Parce que la femme regarde au loin droit devant elle, et qu’elle ressent le vent du large, elle voit apparaître la connaissance. Le passage de l’insouciance à la connaissance peut être désagréable mais il s'agit juste un passage, cela ne dure pas.
Pour bien remplir sa corne d’abondance qu’il arbore sur sa tête, l’homme prend du recul sur ce qui l’entoure, se retourne sur lui même et ne souhaite pas intervenir en mettant ses mains dans le dos, il s’empêche d’agir pour mieux comprendre son environnement.
La corne d’abondance forme un joli 8, symbole de l’infini. Il arbore sa corne tel le chapeau de Marco Polo. L’homme a eu besoin d’observer pour acquérir sa connaissance.